mercredi 11 octobre 2006

pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué?



Ma journée a commencé par cette phrase.Prononcée evidemment par..je vous le donne en mille: la PGPC. Notez quand meme que c'est une des premiere fois que je l'entend prenoncer une phrase aussi exacte et scensée..pas denuée d'interet! La phrase portait en fait (sur le fait) sur un dessin technique, demandé a la realisation par notre prof, que je nommerais SM (Sportif Marrant..pensiez vous a autre chose?) J'ignorais alors que cette phrase allait marquer l'integralité de ma journée. Point benefique, BRP aime mon nouveau parfum (j'ai opté pour Nina de Nina Ricci), et BRP s'est assis a coté de moi (pour une fois que ce n'est pas moi qui le colle..) . Donc, nous etions en cours, BRP , PGPC, SM et MM (Moi Meme, oui, j'aodre les abreviations) et les autres eleves du groupe (car ne vous l'ai je pas dit? notre classe est separée en deux groupes. raison pr laquelle la PGPC etait a l'origine placée en groupe 1 avec ses amies PS (petasses salopes), et que celle ci, apres avoir fichu le bordel dans son propre groupe a changé de groupe, pour foutre le bordel dans le notre!) Lorsque l'autre groupe debarque, bouche glossée, sourrire au levres:
"Nous on a pas cours, parce que mme Enceinte est maladeuh, et vous vous avez quatre heure de trou a rien foutre dans la cours du bahut pourrie et bourrée de clopes!"
Bon, d'accord, elles ne l'ont peut etre pas dit exactement comme ça, la phrase est beaucoup trop longue pour elle (oui, je suis mechante, et alors? tout le monde l'est.) Ainsi me vaint la phrase: Pourquoi faire simple, quand on peut faire compliqué? L'autre groupe fesait simple,et nous fesions..compliqué. Bref, sur cette bonne nouvelle (bah oui quand meme on va pas pleurer, trois heures de cours en moins c'est la fete!) nous partiment dans les couloirs, BRP et moi.
Moi:
"Alors, qu'ece que tu va faire pendant ses passionantes quatres heures?"
Lui:
"Je vais regarder l'ecran orange qui me sert de télé dans la chambre de mon foyer" Et c'est la qu'il me sort la phrase fatidique:
"Je suppose que ça ne t'interesserais pas de faire trois plombes a pied pour finir dans une piaule de mec?"
ce qui veut dire, decodé:
"Hey, tu viens chez moi?"
En tout bien tout honneur, cela va de soi. Moi, surprise comme le chien de prairie sortant de son trou alerté par un cri de buse variable (ne me dites pas que vous n'avez jamais vu le chien de prairie sortant de son trou alerté par un cri de buse variable ? ) Et n'ayant aucunement prevu l'eventualité repond:
"Heu..je prevoyais de rentrer chez moi." Je sait, vous allez me dire "mais crotte de marmotte, pourquoi t'a repondu ça? " j'ai repondu ça, car, comme a mon habitude j'etais effrayée a l'idée de me retrouver seule avec un garcon sur le territoire dudit gars. comprenez moi, je n'ai jamais eu de petit ami.
Ainsi, je suis rentrée chez moi. Je ne me doutais pas de ce qui m'attendais l'apres midi meme. Un raz de marée allait s'abbatre sur mon univers, et ce raz de marée portait deja un nom : BEVEN .
Je rentrait ni une ni deux dans le lycée, essayant de denicher ou etait caché BRP et sa bande, lorsque j'apercu la majeure partie de ma classe assise parterre dans la cour, entrain d'attendre la sonnerie. Je me dirige donc vers eux, calme, cool, fraiche top net kiss yeah (cf Gad Elmaleh dsl pour l'ecorchure de nom) Lorsque , (dieu j'en tremble encore ) arrive Cyn (la gothique de la classe, neamoins adorable) avec :
BEVEN (Bel Etranger en Veste Noire)
BEVEN se caracterisait par:
Une veste de smocking noire sur un t shirt blanc,
Un casque de baladeur
Des lunettes noires, et plus tard:
Un sourrire sexy en diable et
Une voix roque et agreable.
Je l'ai vu dabord de loin, et son look m'a tout de suite plu et deconcertée. de dos, alors de face..mais je me mefiais. des fois, quand on voit les gens de dos, ils paraissent beau et seduisant, et quand ils se retournent, ce sont des joueurs de petanque. Mais LA. c'etait ahow. Il s'approche, et moi l'air de rien "pense a BRP, pense a BRP pense a.." et la il me parle! a moi! mais j'etais tellement occupée a voir l'air degagée et desinteressée, que je n'ai fait que lui sourrire, avant de me gratter l'arcade sourciliere, comme de juste. Il allait se passer un truc encore plus perturbant :
Il s'accroupi devant moi, enleva son casque de ses oreilles d'un mouvement leger et viril a la fois, me sourit (waowhhhh!!!) et dit:
-ca va?
moi:
-Heu ahem ( vous pouvez repeter la question?) je ..oui, ça va!
lui:
-t'es sure?
moi
-(ne m'oblige pas a repeter!) oui, sure.
OH.Mon.Dieu. Catastrophe. Je suis amoureuse. coup de foudre.

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